On peut sans doute résumer cette trilogie, mais ne me demandez pas de le faire, ce serait bien trop difficile pour moi. C’est trop dense, s’agissant d’une trilogie dont chaque partie est plus longue que la précédente, atteignant pas loin de mille-deux-cent pages, et j’accoucherais forcément d’un résumé tels que je ne les aime pas :…