Quand, il y a plus de vingt ans, j’avais découvert Richard Canal avec Aube Blanche, Ombre noire et La Malédiction de l’éphémère, je l’avais classé dans la case cyberpunk, variante à l’européenne : futurs proches ; importance des réseaux ; accentuations des problématiques modernes. Mais avec ses thématiques plus sensibles, plus humaines et moins technophiles, il s’éloignait agréablement…