“Parleur” avait de quoi me déplaire quand je l’ai débuté : ça ressemblait vaguement à de l’heroic-fantasy (sans magie !) et ça m’avait semblé verbeux et lent à se mettre en place. Inutile de dire qu’en cours de route, j’ai changé d’avis, et il me faut confesser qu'à la fin, j’étais émotionnellement lessivé ! C'est un…